Meurtrie, Izioum peine à oublier ses cauchemars

Hantée par le souvenir d'une occupation qui a fait un millier de morts, Izioum peine à se décharger de son fardeau. Elle a connu les pillages, la russification forcée, le déluge de bombes, la répression. Ses écoles, commissariats et bâtiments administratifs furent convertis en chambres de torture.

Deux ans après la contre-offensive ayant permis de libérer Izioum, retour sur les lieux avec le journaliste Patrice Senécal.

Lire l’article complet paru dans Le Devoir